Il proposait ses services aux propriétaires d'un chien, forcément aisés.
A l'aube du XXème siècle, les chiens ne fréquentent guère les salons.
Ils gardent les troupeaux, défendent la ferme ou chassent.
Posséder un animal de compagnie reste l'apanage des citadins aisés. Cette bête pourtant choyée, n'échappe pourtant pas aux parasites. Or il n'existe pas encore de produits vétérinaires qui puissent les en débarrasser.
Quand aux boutiques de toilettage, elles n'apparaîtront que dans les années 1930.
Le baigneur de chien apparaît donc comme un homme providentiel.
Exerçant en ville , il parcourt les quartiers chics pour proposer ses services.
Quand il a trouvé un client , il se dirige vers les quais accompagné d'un domestique auquel on a confié le chien.
S'il possède un baquet, il le remplit d'eau pour procéder au savonnage. A défaut, il traîne l'animal rétif vers le fleuve.
C'était une activité peu lucrative, elle était exercée en complément
par des chiffonniers.
Aujourd'hui, certains, des étudiants souvent, promènent les chiens des personnes qui travaillent toute la journée, cela leur fait un petit revenu non négligeable car souvent ils en promènent plusieurs.
Bon samedi, à plus tard!!!!! MTH
coucou Marie
RépondreSupprimerLes chiens étaient très souvent plus pouilleux et galeux que propres !!!
Par contre dans les châteaux ces dames avaient des chiens de compagnie qui étaient très bien entretenus et qui avaient des accessoires digne d'un roi !! nous avons visité un château où il y avait des niches superbes !!!
gros bisous
MITOU
Bonjour Marie, je me coucherai moins bête ce soir !
RépondreSupprimerBizzzzz